Il y a quelques années,j’arrivais à Montréal pour y prendre un nouvel emploi.
Pas tellement loin de mon lieu de travail, il y avait un cinéma qui présentait des films porno gay.
Régulièrement, je passais devant ce cinéma et à voir les affiches des films j’étais curieux et un peu excité.Je n’avais jamais vu de films porno gay…c’était très rare à l’époque.
Un soir après mon travail, je m’attardai à me promener près de l’endroit et je voyais des hommes de tous âges qui y entraient. Je m’approchai davantage, près de la porte d’entrée pour voir quel était le film à l’affiche et pour regarder à l’intérieur. Le petit hall d’entrée ressemblait à ce que l’on voit habituellement dans tout cinéma: comptoir de ventes de billets et de friandises…quelques fauteuils sur lesquels étaient assis quelques gars.

Je ressentis l’envie très grande d’y entrer…de voir ce qui se passait à l’écran et en ce lieu. J’hésitai quelque peu et tout d’un coup j’ouvris la porte et rapidement je me dirigeai vers le vendeur de billet. Je cherchais la porte qui donnait sur la salle de projection en hésitant…car il y avait deux ou trois portes. « Par là ».. me dit le commis.
Je me retrouvai dans la salle de projection, en pleine obscurité, derrière la dernière rangée de sièges, et il semblait y avoir bien du monde debout à cet endroit. J’attendis un peu afin que mes yeux s’habituent à l’obscurité pour me permettre de voir où j’allais.
Je réalisai qu’il y avait beaucoup de monde dans la salle et je pris l’allée centrale pour trouver une rangée où il y avait des sièges de libres. Enfin une rangée de côté, assez en avant, était vide. Je pris un siège…je constatai que derrière moi, la rangée me semblait toute occupée.
Une fois assis, mes yeux commençaient à bien voir. Sur l’écran c’était fascinant. Un groupe des gars flambant nus, bandés comme des taureaux qui s’embrassaient et se caressaient de toutes les façons possible, partout sur le corps…Les mains et les bouches s’activaient avec fureur. Je devins tout excité et ma queue raidissait dans mon pantalon.
Après quelques minutes à voir cette orgie de queues et de fesses à l’écran, je voyais finalement très bien dans la salle…c’était plein…plein d’hommes qui étaient assis tous près les uns des autres et il semblait y avoir de l’action !!!

Je tournai légèrement la tête derrière moi…Oh! quel spectacle…5 ou 6 gars avaient tous la queue dans la main en se masturbant mutuellement, furieusement…Je tournai davantage la tête et je pu voir un gars presque nu, qui avait ouvert sa chemise et baissé son pantalon et qui affichait un super beau bat. Ses voisins se relayaient à le masturber, le sucer et à lui caresser la poitrine et à lui sucer les seins…c’était maintenant plus fort que moi…Je baissai mon zipper et sortit ma queue dure et juteuse et me mis à me masturber.
Je vis que dans les rangées voisines c’était le même manège…bien des gens avaient baissé leur culottes et se crossaient, ou se faisaient sucer.J’entendais de plus en plus de grands soupirs. Dans une rangée plus avant, un peu en diagonale, je vis tout à coup un gars se lever en bobettes roses en présentant ses fesses à celui qui était derrière lui. Ce dernier se planqua la face dans son derrière en lui mordillant les fesses et doucement lui baissa les bobettes…Je pu voir qu’il lui écartait les fesses et se mit à lui lécher le cul…deux autres gars tout près s’approchèrent et lui empoignèrent la queue et les couilles qu’ils sucèrent à tour de rôle.
Pendant tout ce temps, un gars arriva dans la rangée devant moi et s’assis en me regardant…il avait rapidement vu ma queue en l’air et sans hésiter,il la prit dans sa main et commença
ça à me crosser…grosse main chaude qui m’attira un grand soupir… Tout en laissant le gars me masturber, je me tournai à nouveau derrière moi et le gars tout nu était occupé à masturber et à sucer ses deux voisins…Je vis sa grande queue libre et pointée vers le haut et je m’allongeai le bras derrière moi pour l’empoigner et la masturber frénétiquement. Mais c’en était trop pour lui, il commença à gémir et éjacula dans ma main et je vis de longues giclées blanches bondir vers le haut.

Alors que mon voisin d’avant continuait à me me pétrir les couilles et à me masturber…un grand gars arriva dans ma rangée et s’assit tout près de moi; seul un siège nous séparait. Il se rendit compte immédiatement que j’avais la queue entre les mains du gars d’en avant.Je le regardai. C’était un beau noir.Sans hésiter, il baissa ses culottes et sortir sa queue…superbe!!! Énorme queue en forme de banane…gros gland noir.J’étais surexcité… Il se leva et se glissa sur le siège près de moi. Ce fut comme un aimant qui m’attira. Je perdis tout contrôle et une de mes mains empoigna furieusement sa cuisse…puis sa queue brûlante et je sentis une odeur enivrante. Tout en lui manipulant la grosse queue, mon autre main se glissa sous sa chemise qu’il déboutonna rapidement pour la lancer sur un des na sièges libres. Il était nu entre mes mains…je lui caressais le ventre et la poitrine en lui pinçant les mamelons…il en balbutiait de plaisir.
On avait complètement oublié ce qui se passait à l’écran…

Je continuai ainsi longtemps et longuement à le crosser et à le caresser…et ma bouche se dirigea dans son cou…je lui léchai les aisselles poilues et les tétons et je montai vers sa bouche…ses grosses lèvres charnues se retrouvèrent entre mes lèvres…j’aspirai sa langue…on s’embrassa ainsi durant de longues minutes en gargouillant comme des pissoirs.
Durant ce temps mon voisin d’en avant enfourcha les sièges et s’installa de l’autre côté tout près de moi. Il baissa ses culottes,en caressant son string lentement et enleva son chandail…c’était un grand gars poilu comme un ours. Il s’afféra à m’enlever mes culottes et mes shorts et détacha ma chemise. On était tous les trois flambant nus. Ça sentait le cul. Durant ce temps j’entendais des gars d’en arrière qui gémissaient en se suçant et en se masturbant… et jouir comme des fous et lancer du sperme sur le dos de mon grand noir qui grinçait de toutes ses dents blanches.

Mon nouveau voisin recommença à me masturber et de sa bouche il me léchait les tétons durcis qu’il pressait entre ses lèvres…ça me portait au délire…et je faisais de même avec le noir qui frétillait entre mes mains.
J’avais de plus envie des fesses du noir…je lui demandai de se lever et de se placer devant moi en se penchant vers le siège avant. Quelle merveille, j’avais cette superbe faire de fesses noires et brillantes devant mes yeux et dans mes mains. Je pris beaucoup de temps à les pétrir…les écarter pour y mettre ma face… mon nez et ma langue. Je sniffais son cul et tirais les poils avec mes dents. Ha que ça sentait bon le cul…ce cul que je chatouillais d’un doigt et j’y pointais ma langue dans un mouvement de va et vient.Pendant ce temps le noir se crossait furieusement…et le beau gros ours me suçait de plus en plus…on gémissait en choeur.
A nous voir et à nous entendre se lamenter comme des malades, plusieurs gars s’étaient approchés en se masturbant.C’était plein de queues autour de nous…des mains et des langues nous touchaient partout. Du sperme jaillissait autour de nous dans toutes les directions. Pendant que je continuais à déguster le cul du noir avec avidité et à râler comme une bête, et que mon gros poilu continuait à me sucer comme un cochon en me mettant un doigt dans le cul, un gars nouvellement venu avait pris le bat du noir dans sa bouche en le suçant bruyamment et un autre gars s’était mis à genoux pour sucer mon voisin comme un veau qui veut son lait…Tour à coup le noir se mit à grogner…de plus en plus fort…ma langue rentrait de plus en plus dans son cul…et en hurlant il explosa dans la gueule de son suceur qui n’en finissait pas d’avaler. Au même moment je déchargeai comme un volcan dans la bouche de mon voisin et lui, à son tour, fit jaillir sa crème dans la face du gars qui le sucait depuis quelques minutes…Ce fut délirant…une tornade de plaisir qui qui fit trembler le cinéma.Le noir me tomba dans les bras et mon voisin léchait le sperme qui nous inondait. Je pris de longues minutes à revenir à moi. C’était ma première véritable extase avec des gars…Mais non la dernière.