Vivre ma vie de femme mariée devient de plus en plus compliqué, pas que je ne sois plus amoureuse de mon mari, l’amour que je lui porte n’a pas changé. Mais depuis au moins un an des envies sexuelles me titillent, des fantasmes s’imbriquent dans mes pensées.

A près de 60 ans ans et après trente ans de mariage, je me transforme en une femme que je n’avais jamais imaginée.

Je n’ai jamais été une accro du sexe, si ce n’est aujourd’hui ?
Est-ce la crise de la soixantaine ?

Je ne pense pas que je sois un cas unique et d’autres femmes vont certainement se reconnaitre dans le paragraphe qui suit,

Depuis quelques années mon mari me fait de moins en moins l’amour, nos relations se sont tellement espacées, qu’elles représentent à peine 4 à 5 fois par an.

Bref, tout ça m’a entrainé vers des envies folles de sexes, et plus exactement vers la recherche d’une virilité extrême de l’homme vis à vis de moi, envie d’être traité en objet sexuelle, bien évidemment ces envies restaient des fantasmes.

Alors j’ai décidé de passer une annonce sur un site de rencontre, ça remonte à un peu près 4 semaines, j’avais pas vraiment noté dans mon annonce mes vrais attentes, ayant peur de choquer (toujours mon coté coincé de femme mariée je suppose), le contenu de l’annonce était :

« Femme non disponible cherche un homme entre 25 et 35 ans, pour une relation sexuelle discrète et unique.
J’ai seulement envie de prendre du plaisir et me sentir « prise » par un vrai « male » au moins une fois.
Il n’y aura aucun suivi.
Je recherche un bel homme, bien fait, mate de peau et bien monté (pourquoi s’en priver)
Un homme qui soit capable d’être doux au début, mais surtout qui puisse réagir un homme avec un coté « bestial » (je parle pas de violence), mais un mec un vrai avec qui je puisse me sentir s….pe, donc un macho qui sait y faire pour une seule fois seulement «

Ne sachant pas si le résultat serait satisfaisant, ni même si j’oserai aller au bout et mon âge serait peut-être un frein (l’âge étant inscrit dans ma fiche du site d’annonce).

Le nombre de réponse reçue était impressionnant, je n’ais pas compté, mais j’ai eu des dizaines de réponses.

Par contre il y avait de tout, des hommes plus âgés que moi, d’autre qui me proposait de l’argent pour que je couche avec eux, …..
Donc un tri à faire, malgré cette sélection, il était difficile de se faire une idée, la plupart laissait un message soit très court du style « numéro de tél, appel moi pour un plan » rien de plus ou presque, et d’autres très en verbe avec beaucoup de gentillesse « je souhaiterais vous rencontrez autour d’un verre, faire connaissance … ».

Au milieu de tout ces messages, un a attiré mon attention, je me rappelle pas exactement le contenu, mais il disait un peu près ça :

« jsuis un mec de 21 ans, bien golé avec une grosse bite, tu veux te faire bz salope, alors vient me voir »

Pas très original c’est vrai, mais très direct (ce n’était pas le seul), mais celui-ci m’a accroché, peut-être le coté irrespectueux par les termes « salope » et « baiser », mais sans être d’une vulgarité total comme certain. En plus sans aucune photo contrairement à beaucoup d’autre (j’aurais de quoi faire une exposition de photo de bite !)

Je lui ai répondu en demandant d’où il était, comment il était foutu, …

Sa réponse a été très claire, pour seule description, une photo de lui torse nu et pantalon baissé qui laissait voir sa bite au repos, et franchement il était costaud, super bien foutu et un sexe circoncis qui semblait très large, même au repos. Sa photo m’avait fait mouillée comme une folle

Il m’a écrit simplement une ligne en accompagnement :

« j’habite à St Pirest et je peu te bz dans l’appart d’un pote.

Vu sa localisation, à 10 ‘ de route de chez moi, il y avait peu de chance qu’il me connaisse.

Je lui ai donc répondu que je le trouvai bien foutu, mais que j’avais beaucoup de proposition et que j’allais y réfléchir (s’était plus la peur de passer à l’acte qu’une réflexion)

Sa réponse s’est pas fait attendre et toujours aussi direct :

« Jsuis pas là pour te faire fantasmer salope, si tu veux te faire bz, je dors chez mon pote cette nuit (il indique l’adresse précise)
Tu passe demain matin entre 9h et 10h pour te faire bz
A toi de voir HAKIM »

Réponse auquel je m’attendais pas, j’espérais plutôt qu’il poursuivre de m’allumer (j’avais envie de jouir en le lisant et en matant sa photo), ou qu’il me laisse un numéro de téléphone, je me voyais déjà en train de l’appeler et qu’il me dise comment il me prendrait, me traite de salope … et que je jouisse en l’écoutant.

J’étais dans un telle état d’excitation, mais non rien de tout ça, fini le plaisir virtuel, un passage à l’acte voilà ce qu’il me demandait !

J’avais bien passé cette annonce pour ça, mais sans s’avoir si je franchirai le pas, et au fil des messages et photos, je m’étai prise au jeu de la masturbation.

Et là, il me propose de venir le lendemain matin le voir pour du réel, l’excitation a stoppée tout de suite créant un désir non assouvi, laissant la peur prendre le dessus.

Hakim ? Il est d’origine arabe, un jeune rebeu alors, ça me faisait encore plus peur, leur réputation n’est pas spécialement bonne ! Même si je sais qu’il ne faut pas généraliser.
En même temps ce coté mauvais garçon m’attirait, et amplifiait l’image de vrai mec !
La femme est elle capable de faire la différence entre peur et attirance ?

Mais comment faire, j’y vais ou pas ?

En plus il n’a pas demandé de photo de moi, il pourrait me claquer la porte au nez si je ne lui plait pas !!!!!!
Je ne suis pas un top modèle, pris quelques kilos depuis mes 20 ans, mais je suis consciente que je reste encore attirante pour me faire draguer par des hommes ou simplement par leur regard, et ce petit métisse que j’ai sucé semblait me trouver « bandante », on dit également que je fais plus jeune que mon âge (ce n’est pas pour me déplaire).
Donc peu de chance pour qu’il n’ai pas envie de moi, l’idée de lui déplaire s’efface,

Mais qu’elle décision prendre ??

Lorsque je me suis levé ce vendredi matin, je n’avais prise aucune décision et avait très mal dormie
Mon mari a quitté la maison à 8h30 pour aller travailler, moi je suis en RTT donc libre pour la jounrée.

Mais je n’arrêtai pas de réfléchir

J’ai pris une douche et me suis habillée avec mon jean moulant et un t-shirt échancré montrat la commissure de mes seins, je fais 95 D. J’ai mis une culotte blanche en dentelles et un soutien gorge balconnet assortie. Comme chaussures j’opte pour des bottines de cuir marron.

Je me maquille légèrement, me peigne (je suis brune avec les cheveux courts)

En me regardant dans la glace, je me trouve plutôt attirante, sans être trop sexy ou vulgaire. Et décide de ne plus penser à rien si ce n’est suivre mon instinct.

N’ayant pas encore fait mon choix, il est 8h55, je décide d’aller à l’adresse indiquée, je mets un manteau noir trois quart boutonné entièrement devant.
Je rentre l’adresse sur le GPS de la voiture et me dirige sur les lieux.

Un peu plus de 10 mn plus tard, le GPS m’amène devant un bâtiment que je connais, sans y être entrée, mais je sais que ce bâtiment d’une cinquantaine de logement sur 4 étages est situé dans un quartier à forte proportion maghrébine.

Je suis donc stationné sur le parking qui fait face aux appartements, je regarde le premier étage et cherche le numéro de son appartement, mais impossible à cette distance de distinguer les numéros.
Je reste dans la voiture, voit un jeune me regarder par la fenêtre du rez de chaussée, fait des appels de phares et me fait signe de le rejoindre, ce doit être Hakim!!!.

J’arrive devant la porte correspondant au numéro donné, et toujours sans réfléchir, je frappe à la porte, elle n’est pas fermé à clé et s’entrouve ….

Je me retrouve debout, la porte derrière moi, à l’intérieur et de la chambre, je vois un jeune mec qui se lève du lit, il porte seulement un caleçon boxer noir

Il me regarde de bas en haut tout en se levant (un super corps, je ne peux pas m’empêcher de l’admirer malgré mon cœur qui battait tellement fort, que j’avais l’impression de m’évanouir), et me dit tout naturellement :

« Je ne croyais pas que tu serais venu salope »

En lâchant ces mots, s’approche de moi, passe sa main derrière mon cou, me regardant droit dans les yeux :

« Allez à genoux salope »

Il sort sa bite de son boxer, tout en me tirant vers le milieu de la pièce, son sexe était raide, de très bonne proportion et surtout très large.

« T’es venu pour la bite, suce »

Je me retrouve une fois de plus à genoux à sucer la bite d’un jeune mec, mais cette fois ci je l’avais voulu, j’étais venu pour ça !

Il me retire de son sexe par les cheveux, et me dit
« Enlève ton manteau »

Je me prépare à me relever pour ôter mon manteau, mais là il me retient à genoux :
« Oh la pute, jtais pas dit de te lever, tu l’enlève c’est tout »

Là j’ai eu peur, le ton de sa voix, son regard et « la pute », salope, garce … se sont des termes qui m’excitent, mais « la pute », c’est dégradant, ça me donne une impression de viol, je suis complètement apeuré !

Hakim me faisait peur, je n’avais plus aucune excitation mais uniquement de la peur.

J’ai déboutonné mon manteau comme je le pouvais, mes mains tremblaient, je l’ais enlevé, je sens que mon manteau m’échappe, c’était Hakim qui l’avait empoigné et qu’il l’a jeté 1 m plus loin sur le sol.

Il me lève la tête pour que mon regard aille vers lui, regarde mon décolleté (qui était plus que plongeant vu sa position sur moi), met son autre main dans mon top, baisse mon soutient gorge pour faire ressortir mes seins qu’il masse à tour de rôle, me regarde fixement et dit :
« Tes bonne salope, jvais bien m’amuser avec toi sale pute »

Il fini par lâcher mes seins qui se retrouve sorties de mon top, m’appui la tête sur sa bite, et me l’enfonce pour que je lui suce de nouveau.
Je me dit simplement que je vais faire tout mon possible pour le faire gicler rapidement et pouvoir quitter cet appartement.
Hakim ne semblais plus avoir envi de ma bouche sur son sexe.

Il m’a levé, poussé sur le lit, fous toi à poil Salope, ce que je fis rapidement pui je me retrouvais allongé sur le ventre, il me demande de me positionner la tête sur l’oreiller , il me lève les fesses de façon à me mettre à 4 pattes, soulève ma jupe pour la mettre sur mon dos, mettant mes fesses à son libre regard, et je l’entends dire :

« Ma salope, t’avais envie de ma bite toi, jvais te faire crier sale chienne, c’est ça que tu voulais hein »

Je n’ai pas répondu, ne voulant pas lui confirmer qu’il avait raison,
Mais seul l’idée de me faire sodomiser me hantait, peur de la douleur, de sa brutalité, ce début d’intention qu’il venait d’avoir pour moi en prenant soins que je sois installé confortablement venait d’être balayé par la frayeur d’une sodomie « barbare ».

J’ai déjà été sodomisé, mais ça remonte à pas mal de temps, la dernière fois remonte à 2 ou 3 ans. Même si j’avais émis ce souhait à plusieurs reprises depuis, il avait tendance à débander dès qu’il le début de la sodomie, je m’en étais faite une raison, mon gode ayant pris la suite ces derniers mois.

Le sexe d’Hakim était variment impressionnant…..
« Sil te plais, pas dans les fesses, je t’en prie Hakim »

Et lui me répond :
« Tu t’es jamais fait enculer à ton âge ? »

Ne sachant pas quoi répondre, je n’ai pu que dire la vérité :
« Si bien sur mais il y a longtemps et ta bite est énorme pour moi, pas dans les fesses stp »

Surprise, il fait enfin preuve de gentillesse
« Ouais, il a une p’tite bite ton mec, jsuis sur qu’il a un gros bide en plus, c’est pour ça que t’es venu chercher une grosse bite de rebeu salope, t’inquiète pas, je sais y faire avec les femmes comme toi, t’auras pas mal, laisse toi faire, tu en redemanderas »

Je n’ais pas répondu.
J’entends qu’il déchire quelque chose, une capote certainement, je n’avais même pas pensé à ça, qu’elle folle je suis. Je sens qu’il me caresse mes fesses avec une substance froide qui se réchauffe très vite, qu’il me rentre un doigt, il met du gel !
C’est vrai qu’il semble connaitre son sujet.
Il continu à me doigter, je sens l’excitation qui revient, puis son doigt ressort et s’est sa bite que je sens, elle commence à rentrer, doucement, je la sens bien, je ne peux m’empêcher de lâcher de petit cris de plaisirs, elle s’enfonce de plus en plus, la douleur a été très légère, et donne place à de la jouissance.

Mes plaintes de jouissance semblent le conforter dans mon acceptation de la sodomie, il accélère ses mouvements, mes gémissements se transforment en cris, mon souffle saccadé au rythme de ses coup de reins de plus en plus violent. Il me défonce avec une telle virilité, ma tête enfoncée dans l’oreiller pour atténuer mes cris de femme exaltée par ce régime qu’il m’impose, cette vigueur, mes fesses relevées, offerte à sa bite, mais quelle bite, humm j’adore.

Est-ce la disparition de la peur, le fait que je ne suis jamais arrivée à jouir en me touchant en pensant à lui, mais je jouissait comme jamais, il me défonçait avec toute sa virilité, je ne m’était jamais douté que l’on pouvait jouir uniquement de la sodomie, je n’ais jamais autant hurlé en jouissant, j’avait abandonné l’idée de l’oreiller, ne pensant qu’à mon orgasme, tout l’immeuble devait m’entendre, mais c’était tellement bon, ce jeune mec costaud, virile qui m’enculait comme jamais on ne l’avais fait.

Il m’a laissé jouir jusqu’au bout de mon orgasme, puis s’est retiré, m’a retourné de façon viril, mais avec une certaine douceur, mis sur le dos face à lui, retiré ma culotte qui l’a jeté par terre, ôté sa capote (il n’y avait pas que le gel qu’il avait pris, mais une capote également), il l’a jetée plus loin et me dit en me regardant avec un regard plus affectueux :
« Tu m’a fait giclé salope, tu es super bonne à baiser »

J’ai compris qu’il avait jouis également, j’étais même un peu déçu, j’en aurais voulu plus, mais ce qui était surprenant c’est que son sexe n’avait que peu diminué ?

Il se penche sur moi, ressort bien mes seins de mon top, me lèche les tétons, arrête, se couche sur moi, et je sens son sexe rentrer en moi, bien dur, humm j’avais l’impression que mon orgasme ne finissait pas, il se poursuivait avec délice, mais de façon différente, avec douceur, tendresse, il me pénètre doucement, me regarde, il est beau, la jouissance m’envahie, plus charnel, c’est bon, il m’embrasse dans le cou, il ne me baise pas, mais me fait l’AMOUR.

Approche ses lèvres des miennes, je tiens plus, je lève légèrement ma tète et l’embrasse à pleine bouche, sa cadence s’accélère, je jouis comme une folle et ça semble ne pas s’arrêter, on s’embrasse, se regarde, il me regarde jouir et je vois dans ses yeux qu’il va jouir aussi, je sens les saccades de son sperme se déverser en moi, je l’embrasse avec tendresse, et je lâche un :
« Je t’aime »

Il me regarde tendrement et me sourit, m’embrasse une dernière fois et se lève en se retirant doucement de mon sexe, je suis en extase.

Il se met debout, me dit qu’il va prendre une douche, demande si je veux en prendre une également, je ne réponds pas, ça le fait sourire et il disparait dans la salle de bain.
Je ne l’ai pas quitté des yeux, admirant son corps, cette virilité.

Allongé sur le lit, je reprends mes esprits, et commence à réagir, qu’est que j’ai fait, je voulais me faire baiser, et j’ai fini par faire l’amour avec lui, dit « je t’aime », qu’est qui me prend, du sexe, rien que du sexe, pas ça !

Je me lève d’un bon, et je sens son sperme dans mon sexe et qui coule sur mes bas, d’instinct, je prends ma culotte par terre pour m’essuyer, mais c’est loin d’être suffisant. Et je me mets à comprendre qu’il ma jouis dedans, sans préservatif !

Je me dirige vers la salle de bain, j’entre ouvre la porte de la salle de bain et lui dit :
« Hakim, tu as jouis dans ma chatte, tu as pas mis de capote ! »

Et lui répond
« T’inquiète je suis sains, avec les pd je me protège, et t’avais l’air d’aimé, non ? Tu l’a même dit alors où est le problème
Si tu ne prends pas la pilule, jtais engrossé, faudra que tu explique à ton gros qu’il va avoir un pti rebeu »

Et il se met à rigoler comme un mec fier de sa connerie, le Hakim doux et tendre a disparue, laissant la place au macho.

Je tire sur une serviette accrochée au mur de la salle de bain, m’essuie le sperme comme je peux, remet mon jean correctement, mon soutien gorge et réajuste mon décolleté.

Je remet mon manteau, sort de l’appartement, et je descend le plus rapidement possible à ma voiture, évitant tout les regards (qui étaient réels ou que j’imaginaient, je n’osait pas regarder).

Arrivée à ma voiture, je cherche mes clefs dans mes poches, et j’aperçois trois jeunes appuyés au garde fou du 2ème étage, me faire des signes obscènes, mimant une pipe, .
Je trouve enfin mes clefs, monte en voiture et prend immédiatement la direction de la maison.