C’était une journée de congé. L’entreprise pour laquelle je travaille ayant fermée ses portes pour inventaire et étant seule à la maison, je me lance et décide d’inviter ma copine Marie. Celle-ci, directrice des comptes dans une banque, jouit d’un horaire d’été qui lui permet d’avoir tous ses vendredis après-midi libre.

Marie est cette jolie femme d’un charmant couple que nous avons connu par l’entremise d’un site de rencontre pour couple libéré. Nous avions décidés de nous inscrire sur ce site après une aventure d’exhibition sur une terrasse ou la situation avait franchement été bien au-delà de ce que je pouvais m’imaginer (voir Où me mènera mon exhibition 1 et 2). Lors de cette aventure, pour la première fois après plusieurs années de mariage, j’avais été caressée et prise par un autre homme que mon mari. Marie et Steve, le couple en question, connaissait cet épisode de notre vie mais pas dans les moindres détails. J’avais demandé à Denis de ne pas raconter la finale ou nous nous étions déplacés dans les toilettes des hommes ou penchée en avant, la jupe retroussée, j’avais été pénétrée par un jeune homme pendant que j’administrais une fellation à un autre.

C’est le premier et le seul couple, à ce moment-là, avec lequel nous avions eu des échanges sexuels. Échanges toutefois, limités jusqu’à ce jour, à ma demande, à des caresses. Malgré mon expérience vécue de pluralisme, je n’étais pas prête à des échanges aussi intimes avec un autre homme. Aussi, je n’étais pas certaine que de voir mon époux faire l’amour à une autre femme me plairais vraiment. Je dois toutefois avouer qu’après coup, ces échanges mêmes limités entre mon époux et Marie, m’émoustillaient passablement.

Ainsi, toutes les caresses sont permises, sauf la pénétration qui est réservés aux conjoints. Lors de ces échanges, moi et Marie nous étions souvent caressés l’une l’autre pour le plus grand plaisir de nos époux. Nos maris, sans insistés, nous avaient d’ailleurs encouragés à le faire. A la blague nous leur avions dit qu’un jour, nous allions nous rencontrer seule à seule, pour ensuite leur raconter nos exploits.

Sans plus attendre, j’appelle Marie, cette jolie femme sportive, plus grande que moi de quelques pouces, 5’5’’ (1,67 m), mais toute aussi menue 115 lbs (52 kl) et sexy. De tout petits seins, une taille fine et un joli fessier ferme et musclé. Elle me répond aussitôt, je lui propose de venir passer l’après-midi à la maison. Elle s’empresse d’accepter mon invitation.

J’étais toute excitée de la recevoir, pour la première fois, seule chez moi. Bien que n’ayant jamais eu d’attirance pour les femmes, depuis notre première rencontre et surtout nos premiers échanges, il faut bien le dire, je fantasme sur Marie. Je finalise le rangement de la maison pour ensuite me faire couler un bon bain chaud rempli de mousse, il fallait que je me calme un peu.

Je m’installe dans la baignoire, ferme les yeux : je relaxe. Je commence à me savonner et mon corps réagit aussitôt. J’effleure doucement mes seins et mes mamelons se gonflent rapidement. Doucement ma main descend entre mes cuisses pour caresser délicatement mon sexe du bout des doigts.

La sonnerie de la porte d’entrée me fait sortir de cette torpeur dans laquelle je m’étais laissé entrainer. Dans un sursaut, j’ouvre péniblement les yeux. Je retire à regret ma main non sans déclencher un frison à l’endroit où elle était logée et me sèche rapidement. J’enfile ma robe de chambre de satin que j’attache en toute hâte afin d’aller répondre à la porte. Est-ce déjà Marie? Mes caresses ont durées plus longtemps que je me l’imaginais.

J’entrouvre la porte, oui c’est bien elle. Quel plaisir d’apercevoir ma belle amie déjà au seuil de ma porte, resplendissante, comme toujours. Je la fait entrée, la serre contre moi et l’embrasse chaleureusement sur les joues mais tout prêt du coin de ses lèvres étroites qui semblent toujours humides et souriantes. Elle me repousse délicatement, me regarde d’un air coquin et me dit Hélène ma chérie, ta robe de chambre te va très bien. En me regardant, je comprends ce que Marie semble vouloir me dire. Je m’aperçois qu’un de mes seins sort du vêtement et que l’autre bien que caché, frottant sur le tissus soyeux, est resté érigé et pointe outrageusement. Un peu gênée je m’empresse de rattacher celle-ci mais mes mamelons transpercent le tissus et Marie ne manque pas de s’en apercevoir.

Un peu troublée je lui offre un verre et lui propose de s’asseoir le temps d’aller à ma chambre m’habillée. J’enfile des bas jarretelles, un soutien-gorge et string assortis. Tout en attachant mes bas aux portes jarretelles, je me retourne et vois la petite Marie, la coquine, m’épier derrière la porte de la chambre restée ouverte.

Sans dire un mot Marie pénètre dans la chambre et tout en me regardant droit dans les yeux, passe sa main le long de mon corps avec une douceur infinie. Je sursaute mais accepte ses caresses. Oui, je les accepte et me laisse guidée comme hypnotisée par le désir transperçant son regard. Elle m’entraîne vers le lit, me fait étendre sans précipitation et me dit tout doucement, comme dans un chuchotement, ne bouge pas stp. Elle pose alors ses lèvres contre les miennes, entrouverte de surprise, et m’embrasse langoureusement.

Sentant l’effet qu’elle me fait, elle entreprend de se dévêtir en effectuant des mouvements langoureux et sensuels. Depuis mes caresses dans la baignoire, mon excitation ne s’est pas éteinte et Marie, depuis son arrivée, l’attise encore plus avec ses gestes, ses indiscrétions et son audace. Elle enlève son chemisier et sa jupe tout en conservant ses bas auto-fixant, son soutien-gorge et sa mignonne culotte. Ouf qu’elle est jolie. Tout en se rapprochant de moi, elle pose ses mains délicates sur ma peau moite et brûlante. N’y pouvant plus, je me lève, la prends à mon tour dans mes bras et ensemble nous retombons sur le lit.

Depuis longtemps j’avais envie de me retrouver seule avec elle, aussitôt arriver, je crois qu’elle l’a sentie et devinée. Il me tardait de vérifier si nos caresses respectives auraient le même effet sur moi que lorsque nous sommes avec nos conjoints. Était-ce le fait d’être regardée par nos époux qui m’excitait autant? Tout à mes réflexions, enlacée par Marie, j’eue rapidement réponse à mes questions. Cette femme m’excitait au plus haut point. Ses caresses toutes simples dans le cou, sur mes épaules et bientôt sur mes seins, m’électrisaient. Tout doucement je me mis, à mon tour, à caresser ce corps qui m’était offert. Avec douceur je détache son soutien-gorge pour enfin découvrir sa poitrine menue gonflée de désir. Ses longs mamelons qui pointent ne demandent qu’à être caressés, dégustés et sucés et je ne peux me retenir plus longtemps de leur donner satisfaction.

Un petit cri sorti de sa bouche et son corps se dandine de plaisir. Je mis ma jambe entre les siennes. Alors, ondulant des hanches et se frottant sur moi, elle en profite pour se masturber sur ma cuisse. J’enlève à mon tour mon soutien gorge et colle ma poitrine contre la sienne. Quelle merveilleuse sensation de douceur. Du bout des doigts je lui effleure la peau frissonnante si chaude et si douce. D’une main je palpe ses fesses et de l’autre, entre ses jambes, je caresse délicatement ses chairs de plus en plus moites.

Je glisse le long de son corps et colle ma bouche contre son minuscule sous vêtement qui ne cache presque rien et y dépose de doux baisers. Marie s’offre sans résistance et se languie de mes caresses. Je prends donc l’initiative de lui retirer le seul petit bout de tissus qui lui reste. Prenant un peu de recul, quelques instants, j’admire ce corps qui m’est offert.

Reprenant un peu mes esprits, je m’installe entre ses jambes délicieusement ouvertes. J’approche mes lèvres et embrasse son ventre. Tout en caressant ses petits seins érigés, je me dirige vers son sexe humide. Je dépose ma langue sur son bouton qui se pointe, elle frissonne et moi aussi. D’une main j’ouvre cette chatte aux lèvres charnues, déjà toute trempée, et y colle les miennes. Je veux la voir et l’entendre jouir de mes caresses. J’introduis un doigt, puis deux, et d’un mouvement de va et vient ma belle chérie atteint rapidement le septième le ciel et éjacule sur mon visage.

Marie se relève et s’excuse de son dégât que nous appelons entre nous, à la blague, défilles. Il faut dire que Marie à cette capacité que je n’ai pas d’éjaculer facilement. Il m’arrive aussi d’éjecter ces eaux de plaisir, jamais cependant comme Marie peut le faire, de façon aussi abondante et à répétition. Dans un ballet de caresses qui nous fait perdre la tête, nos lèvres se sont jointes dans un baiser brûlant et torride. M’étirant jusqu’à la tête du lit, j’ouvre le tiroir de la table de chevet, pour en sortir un double gode de belle grosseur que j’avais achetée en prévision de cette échange espérée.

Denis au courant de cet achat aurait bien voulu que je l’amène lors de nos rencontres avec Marie et Steve mais feignant la timidité, je lui avais dit qu’il était pour l’instant, réservé à nos jeux. Aussitôt Marie saisit cet objet de plaisir et le glisse entre mes cuisses. J’ouvre les jambes, sans pudeur, pour lui offrir l’antre de plaisir où brûle déjà un brasier. Elle insère doucement mais profondément l’objet dans mon sexe bouillant après avoir elle-même insérer l’autre bout dans sa chatte juteuse. Voyant que j’étais sur le point d’éclater, elle accélère le rythme et me baise vigoureusement. Dans mes photos vous pouvez d’ailleurs avoir un aperçu de cet objet de jouissance, car bien sur Marie et moi nous nous en sommes resservit plus tard avec nos maris, qui eux, ont immortalisé l’instant. Pour les curieux, je suis èa gauche sur la photo.

Devant nos chéris, jamais je ne m’étais totalement laissé aller avec Marie. Mais là, ce fut l’extase! Ma jouissance a atteint des sommets que je ne pensais jamais pouvoir atteindre avec une femme, moi qui, il faut bien le dire, adore me sentir remplit par la queue de bonne dimension de mon mari. Tout à mon plaisir, c’est le jet puissant de Marie, expulsant encore une fois son plaisir sur mes cuisses et mon ventre, qui me sortit de ma torpeur dans laquelle ma jouissance m’avait laissée.

Après ces ébats juteux, reprenant nos esprits, nous nous sommes misent à parler de nos fantasmes respectifs et avons décidé qu’il était temps d’en réaliser quelques-uns. J’appelais donc mon mari Denis qui était au travail et lui demanda s’il était intéressé ce soir à sortir en compagnie de Marie et Steve. Je lui dis que Marie était avec moi et qu’elle avait déjà convenue de cette sortie avec Steve. J’informe aussi mon mari que je me prépare pour cette soirée et qu’ensuite je vais avec Hélène chez elle pour qu’elle en fasse autant.

Ayant finalement décidées de prendre notre repas à l’extérieur, je précise à Denis que nous allons ensuite moi et Marie souper entre fille dans un petit restaurant et que nous aimerions qu’il nous rejoignent comme dans un premier rendez-vous galant. Quand même un peu surpris de tout ce scénario, comme l’avait été Steve quand Hélène l’avait informé des détails de cette sortie, Denis trouvant l’idée délicieuse, raccrocha en nous traitant de petites coquines.

Cette épithète avait certainement à voir avec l’endroit où nous avions donné rendez-vous à nos conjoints respectifs. Le Nuance, bar échangiste au centre-ville de Montréal. Il y a longtemps que Steve et Denis voulaient nous y amener, juste pour voir, comme ils disaient. Moi et Hélène étions déjà toute excitées à la pensée de rencontrer nos hommes à cet endroit. Nos têtes étaient pleines d’idées pour cette soirée.

Après notre repas au resto ou nous n’avons pas passé inaperçus, on se rend au lieu du rendez-vous. Pour l’occasion, nous portions chacune une jupe très courte ainsi qu’un joli bustier qui mettait en valeur notre poitrine. D’un commun accord, nous avions omis de mettre une culotte question d’exciter davantage ces messieurs. A l’entrée du bar, le portier semblait surpris de la venue de deux femmes seules. Nous n’avons pas précisées que nos maris venaient nous rejoindre. Arrivées un peu en avance, nous avons décidées d’entrée immédiatement dans le bar, nos hommes nous y rejoindrons. Une jolie hôtesse, aussi sexy que nous, nous fit visiter les lieux. Nous avions déjà entendus parler de ce lieu et des activités qui s’y déroulaient, des petits coins coquins, du spa public, des alcôves, du glory hole, etc., mais de les voir nous excitaient encore plus. Surtout que déjà des couples occupaient les lieux et s’y caressaient.

Évidemment deux femmes seules ne passait pas inaperçu en ces lieux. Sur la piste de danse ou nous nous étions dirigées, plusieurs couples nous adressaient de larges sourires, je dirais concupiscant. Nous dansions de façon sexy en nous frôlant et en nous caressant un peu et bientôt, un couple se colla à nous, l’homme derrière moi et la femme derrière Marie. Doucement, ils nous poussèrent l’une vers l’autre toujours collé à nous. Je sentais la queue dure de l’homme sur mes fesses seulement protégées de ma seule jupe d’un tissu léger. L’homme me caressait les hanches, je crois à la recherche d’un élastique et s’aperçu que j’étais nue sous ma jupe. Il me dit, humm sans culotte…

Plus tard Marie m’appris que la femme, l’avait, elle aussi caressée et avait même glissé sa main sur le devant de sa jupe. J’avais d’ailleurs remarqué et sentie sa main, sans la voir, entre nous deux. Cette main caressait Hélène mais du revers appuyait fermement aussi sur ma chatte. Pendant ce temps, l’homme avait passé ses mains sur le devant de mon corps et caressait indifféremment mes seins et ceux de Marie. Prises dans cet étau et de plus en plus excitées, nous nous sommes langoureusement embrassées. Reprenant toutefois nos esprits, nous nous sommes détachées de ce couple en les saluant et en refusant leur invitation de les rejoindre au coin coquin.

L’heure avançait et normalement nos maris devaient déjà être là. Un petit détail nous avait échappé. Comme c’est souvent le cas dans les bars échangistes, à cet endroit, les hommes seuls ne sont pas acceptés. Je l’appris, en fait, je me le rappelais, quand je fis la remarque à la serveuse qu’il n’y avait pas beaucoup d’homme seul. Au début désolées et ensuite prise d’un fou rire commun, nous nous sommes, sans même nous consulter, rapidement dirigées vers l’entrée du bar.

Nos hommes étaient là et se demandaient pourquoi nous n’étions pas encore arrivées. Nos téléphones étant restés dans nos sacs au vestiaire, nos maris n’avaient évidemment pas réussis à nous rejoindre et s’inquiétaient un peu. Ils auraient voulus aller voir dans le bar si nous y étions en expliquant la situation au portier mais celui-ci avait refusé. Aucune femme, dit-il, n’avait dit attendre leurs maris. Quand même un peu déstabilisé par la description que nos maris avaient fait de nous, le portier avait accepté d’aller voir dans le bar et avait l’intention de nous redemander si nous attendions nos maris. C’est ce qu’il s’apprêtait à faire, quand nous somme arriver dans le hall d’entrée. En nous voyant, nos maris se sont dirigés vers nous en disant au portier, les voilà.

Steve et Denis étaient heureux de nous voir mais était quand même un peu fâchés. Ils étaient certains, connaissant l’interdiction pour les hommes seuls, qu’ils devaient nous rejoindre dans le hall d’entrée. Ils nous attendaient depuis au moins 30 minutes, à l’heure convenus. Nous leur avons expliqué la situation, notre oubli de cette règle pour les hommes seuls mais encore prises de fou rire, nos maris n’ont eu d’autres choix que d’en rire aussi.

(La suite bientôt)