Le soir tombait petit à petit, Annick lisait dehors sur le trottoir servant de terrasse, elle était vétue d’un pyjama short dont le haut moulait sa poitrine généreuse et le bas relevé, car elle avait posé ses pieds nues sur un chaise située en face d’elle, ses cuisses musclées et blanches faisant plaisir à voir.
C’est à ce moment que Christian revenant du travail lui souhaita le bonsoir, discuta quelques instants avec elle puis déclara qu’il montait prendre une douche car la journée avait été rude et chaude.
Moi de mon coté, voyeur et fantasmeur je révais de voir ma femme coucher avec lui car malgré ses 52 ans Christian était encore un bel homme, moyen de taille, mais avec un beau visage buriné, un sourire enjoleur, une voix chaude et mâle, musclé juste comme il faut, très doux dans ses mouvements donc dans ses caresses, il plaisait beaucoup, avait du charme et Annick bien qu’elle me dit plusieurs fois qu’il ne l’intéressait pas, je voyais bien dans son regard qu’elle lui portait quand même un intérêt certain.
Annick est une femme mature de taille moyenne également, ronde ce qui n’est pas négligeable avec une poitrine blanche, lourde, flasque qui envoute pourrais-je dire !!! elle fait 95 bonnet D, un peu de ventre mais malgrè qu’elle ait 57 ans elle ne les fait pas et pas mal d’homme se retournent sur son passage.
Je pensais à tout çà quand Christian revint s’asseoir à coté d’elle disant que cette soirée était délicieuse, que le week-end s’annonçait bien et qu’il venait profiter de la douceur de la soirée avant de monter se coucher. il était vétu d’un pyjama short de couleur gris souris.
Il parlait de choses et d’autres et je voyais bien que Christian reluquait par moment les formes d’Annick et qu’au niveau de son sexe masculin le tissu commençait à gonfler donc il avait envie d’elle celà était indéniable, je dois dire que je me trouvais contre la vitre de la fenêtre de la cuisine masqué par un rideau, je voyais presque tout et eux ne me voyait pas. Ils riaient par moment et c’est à cet instant que le portable posé sur un meuble dans la pièce à coté se mit à sonner, je m’empressais d’aller répondre et fut rapidement de retour car il s’agissait d’un appel publicitaire sans aucun intérêt, mais là je fis les deux sièges vides, je scrustais les alentours et ne voyant rien je sortais pour remarquer que les lunettes et le livre d’Annick étaient posés sur la petite table et pas de traces d’eux deux.
Je cherchais vaguement où ils pouvaient être allés lorsque j’entendis le volet de la chambre de Christian se fermer doucement et celui-ci le mettre à l’espagnolette, la nuit venait de tomber et la clarté lunaire illuminait la placette.

Je pris mon courage à deux mains et grimpait l’étage me séparant de chez Christian en faisant bien attention à ne pas trop faire craquer les marches de l’escalier en bois qui l’été sont difficiles à monter sans bruit, je mis du temps mais y suis arrivé.
Devant sa porte palière j’actionnais très doucement la poignée et ouf!!! il n’avait pas fermé à clés la porte, connaissant un peu l’endroit je me glissais dans le couloir et m’approchais timidement vers la porte de la chambre d’où sortaient des murmures amoureux et des bruits de baisers langoureux, je regardais par l’interstice de la porte entr’ouverte, au début n’y voyant pas grand chose malgré le faible rayon de la lune illuminant la chambre je n’entendis que le bruit de caresses délicates, puis celui de vêtements froissés, il devait mettre à poil Annick et retirer également ses vétements, puis celui de deux corps s’allongeant sur le lit car le sommier émit un bruit sonore du genre couinage !!. Petit à petit m’habituant à la pénombre de la piéce je les vis tendrement enlacés et Christian dire à Annick

–  » Humm Annick tu as de ses seins hummm de toute beauté et en plus doux comme de la soie, je vais te les bouffer comme on ne te l’a jamais fait, tu vas voir ce que sais faire ton Christian » et effectivement je vis Christian prendre entre ses mains les seins généreux d’Annick, les sucer, les lécher, dessus, dessous, les peloter avec douceur, les pétrir, en faire la totaledécouverte sans en laisser le moindre morceau de chair sans l’avoir embrassé. Répondais à tout çà les gémissements doux d’Annick, comme les miaulements d’une chatte car elle est très sensible des seins et jouis parfois rien qu’en se faisant caresser les seins………………..
Le lit craquait par momen car Christian se déplacait sur Annick afin de découvrir sa poitrine sous toutes ses faces, il en soupesait les mamelles pour les lécher avec plus de vigueur, en téter les tétons à grands coups de langues et ensuite en les tétant comme un bambin avide de boire son biberon, ses mains excitées les pétrissaient, les pelotaient avec vigueur et désir. Puis à un moment Christian lui dit :

-« Ecarte tes cuisses j’ai envie de te lécher la mouille » et je vis Christian enfouir sa tête entre les cuisses de ma femme et lécher à grands coups de langues la chatte d’Annick , lui aspirer sa liqueur, et posant ses mains sur le haut de ses cuisses il lui dévorait sa chatte poilue………….Annick avait refermé sur lui ses cuisses et l’emprisonnait contre son sexe humide ce qui ne déplaisait pas à Christian …
hummmm ouiiiiiiiiiiiiiii hummmm c’est bon disait Annick slup slup slup ne pouvait que répondre Christian.

Puis il lui demanda de le chevaucher et je vis Annick les seins tombant sur le visage de Christian prendre sa queue entre ses doigts et la placer à l’entrée de sa chatte, Christian ayant pris possession à pleine mains des seins d’Annick, donner un petit coup de rein afin de bien la pénétrer et tout en lui pelotant les nibes lui porter des coups de plus en plus rapides pendant qu’Annick se maintenant par les bras sur le bois du lit faisait danser son sexe sur le ventre de Christian.
Après lui avoir déclaré qu’il était très endurant au lit, d’un coup il la retourna et se trouva sur elle, leurs bouches collées l’une à l’autre offraient un beau spectacle de baisers langoureux et sauvages.
Christian lui portait des coups de boutoirs de plus en plus nerveux faisant craquer le sommier et couiner le matelas, Annick sous son amant poussait comme des clapissements amoureux, elle avait déjà jouis deux fois que Christian n’avait pas encore éjaculer, il la limait, la pinait, la pilonnait sans une seul moment de répit, Annick jouissait fortement et Christian ahanait comme un f***ené. Ils devaient tous les deux transpirer car une odeur de mâle en rut et de femelle en manque se dégageait de la pièce.
De mon coté m’étant habitué à la clarté de la lune, j’y voyais presque comme en plein jour, je voyais leurs deux corps secoués par l’amour que prodiguait Christian, les doigts d’Annick s’enrouler autour des boucles des cheveux de Christian qu’il portait frisés sur la nuque et par moment sa tête tournant de droite et de gauche sur l’oreiller signe qu’elle jouissait fortement.
Christian lui saisissait la bouche avec ses lévres et la maintenait par un baiser sonore et baveux!!!! Puis arriva le moment où il éjacula avec un cri de délivrance tel un fauve fier d’avoir coupulé avec sa partenaire, Annick poussa aussi un cri de femelle assouvie.

Je les vis se relever et rapidement je m’engouffrais à l’extérieur pensant qu’ils avaient terminé, je mettais installé à mi-étage pour filer plus vite au cas où Annick sortirait.
La porte s’ouvrit en effet et je vis Annick sur la palier, elle avait remis son short mais pas encore son haut de pyjama, ses seins étaient devenus un peu violet sous les caresses de son amant, quelques sucons çà et là appliqués par Christian puis celui-ci apparut c’est là que je le vis pour la première fois entièrement nu, le torse encore bien musclé pour un homme de 52 ans adepte de la nature et du travail au grand air, des cuisses fermes surmontant des mollets solides, une queue bien équilibrée qui bandait encore pas mal malgré qu’il ait éjaculé dans la chatte d’Annick avec un gland imposant et des couilles bien lourdes. Il retint Annick par l’avant bras et avec son sourire ironique, suffisant et charmeur, lui dit de sa voix chaude de mâle dominateur :

– « çà t’a pas plu Annick tu veux déjà partir, t’as vu ce qu’un breton de la dombes pouvait faire allez reste on s’en fout de ton vieux, si çà se trouve il roupouille comme un sonneur soit sans crainte c’est pas terminé je vais remettre çà si tu as encore envie de moi ?…. »

Annick se retourna vers lui lui sourit tendrement et rentra chez lui après avoir échangé un baiser langoureux.
Je remontais à mon tour et la porte n’étant pas refermée à clé je pénétrais doucement dans le couloir et repris ma place de voyeur cocu….le volet avait été ouvert en grand pour apporter une note de fraicheur dans la chambre surchauffée, j’aurais dû y voir mieux mais mais la porte ayant été presqu’entièrement refermée je n’y voyais goutte et dû me contenter d’écouter en collant mon oreille contre la porte………….:
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Christian lui dit alors  » ma belle Annick je vais encore te faire jouir comme il l’a jamais fait ton cocu de mari » mais veux-tu me sucer à mon tour ? et malgré la répugnance qu’elle m’avait toujours déclarée j’entendis qu’elle se mettaitt à genou devant lui, lui prenait délicatement la queue entre ses mains et j’entendis comme une aspiration telle une délicieuse friandise dégustée, elle dû le suçer longuement car je n’entendais que les gémissements jouissifs de Christian qui devait avoir empoigné la tête d’Annick et le pressant contre lui devait lui faire avaler entièrement son chibre afin qu’elle en déguste toute la longueur car j’entendis comme des bruits de refoulement salivaire.

Puis j’entendis deux corps s’allonger sur le lit et les gémissements jouissifs de deux corps appréciant les caresses échangéeset excitées l’un et l’autre. La bouche de Christian devait aspirer et les seins et la chatte d’Annick, je l’entendais pousser de petis cris jouissifs caractéristiques de son excitation sexuelle, de petits mots doux qu’elle lui destinait, j’entendais Christian lui dire des choses aux creux de l’oreille, des choses inaudibles pour moi mais qui avait l’air d’enchanter Annick.
Puis un long moment de baise intense car le lit craquait de plus en plus :
Je t’aime Annick depuis très longtemps et aussi très longtemps que je réve de coucher avec toi, ton corps, ton air pincé me font bander comme un malade, je suis heureux que tu soit là avec moi…. et j’entendis à nouveau le matelas couiner sour les coups de queues de son amant. Les gémissements sonores de ma femme m’avertirent que Christian venait d’éjaculer à nouveau. J’entendis un corps se lever et rapidement me jetait dans la pièce d’à côté, Christian se rendit aux toilettes suivi par Annick puis tous les deux rejoignirent la chambre et ne fermérent par la porte ce qui me permit lorsque j’entendis le lit craquer à nouveau de voir un peu mieux Christian et Annick faire l’amour à nouveau.
N’ayant pas de montre sur moi c’est grâce au clocher de l’église d’à coté que je sus qu’il était plus de 22 heures et Christian Frai Gât (il aimait le dire à Annick en patois breton c’est à dire homme mature encore plein de fougue…) la besogner comme s’il ne l’avait pas encore baisé. :
-Tu aimes lorsque je te fais l’amour on dirait Annick, je t’ai dit que j’étais endurant qte tu va t’en apercevoir mais si tu fatigues dit le moi je cesserais……
– Ne dit pas n’importe quoi mon Christian et elle l’embrassa pour lui faire comprendre qu’il pouvait la baiser le temps qu’il voudrait et qu’elle lui était entièrempent soumise.
Il la baisa donc un grande partie de la nuit et moi pauvre mec je voyais ma femme jouir entre les bras de Christian et prendre son pied comme jamais elle l’avait pris avec moi.
Depuis ce jour Christian fier de la baiser et de me cocufier ne fit rien pour cacher leur union purement sexuelle, elle devint sa maitresse et lui son amant qui se rencontrèrent tous les week-end.