45 ans mariée et très heureuse dans mon couple, rien ne me prédestinait à « tromper » mon mari, que j’aime par-dessus tout, pour la première fois, malgré quelques discussions, fantasmes élaborés entre nous… Travaillant dans un restaurant d’une grande chaine, j’étais l’adjointe de mon jeune directeur divorcé, 30 ans et des plus avenants. Très charmeur et séduisant il était et de jours en jours, il me troublait au plus au point avec ces allusions…, insinuations… Sans rien en parler à personne, j’en « jouais » quelque peu, et cela « l’amusait » beaucoup…, et un matin seule à la maison, mon mari au travail, traînant au lit, longuement, intensément je me caressais, car j’adore cette pratique depuis mon plus jeune age, et très vite, je fantasmais sur mon Directeur. Mes doigts ne me suffisant plus, avec un de mes godes préféré, face au miroir de mon armoire, je m’imaginais des choses des plus coquines…, et énergiquement je me « fouillais » avec mon « jouet » !!!
Fortement secouée par pleins de spasmes de plaisirs, je m’imaginais être « coquine…, cochonne-même », dans les bras de mon amant… ! Jamais je n’avais fais cela, et jamais je n’avais jouie aussi puissamment. Devinez mon état à 11h30 en me présentant au travail !!!

De plus en plus souvent, je faisais les fermetures avec lui, et le personnel renvoyé, je faisais les comptes avec mon Directeur, devant une boisson. Jamais mon mari ni voyait de mal, à ce que je rentre tard, car quelques fois il venait me rejoindre, et tous les trois on trainait à discuter très simplement, et très souvent, quand je rentrais seule, fougueusement on s’aimait, alors que je le réveillais, d’une façon des plus polissonne….!

Ce mercredi soir-là, un violent orage et du foot à la télé, très peu de clients nous avions, et très tôt, le personnel partait. Les lumières baissées, devant une coupe de champagne, au bar, on parlait de tout et tous, et assise sur un haut tabouret, face à mon directeur, des plus gracieux et doux il était, au point d’échanger entre nous quelques « secrets d’alcôves » ! Là je me remémorais seconde après seconde, mes caresses solitaires en « rêvant » à lui, et se rapprochant l’un de l’autre, il descendait de son tabouret, et des plus caressants, il était, sans que je ne le repousse…, dise quoi que se soit! A partir de là, oubliant tout et tous, entamions sans se soucier de rien, un flirt des plus passionné !

Je me laissais effleurer, caresser, embrasser avec peu d’appréhension ! Ayant une tenue de travail, je portais donc, une robe portefeuille avec sa veste assortie, des collants noirs et des escarpins assortis… Tandis qu’il me guidait, lors d’un fougueux baiser, et que nos langues « s’amusaient » entre nos deux bouches collées, jusqu’à une table du restaurant derrière moi, je lui murmurais qu’on pouvait être vus… reconnus, et que la porte d’entrée, vitrée, n’était pas fermée. Très surprenant était ces questions, tandis que je me retrouvais allongée sur la table…, jambes ouvertes dans le vide :

– Cela te fais peur ou cela te plais… ?

Se fixant mutuellement et tandis qu’il ouvrait ma robe portefeuille avec une infinie douceur, un merveilleux doigté, gémissante et tremblante, j’ajoutais :

– Je ne sais pas…, je ne sais plus !

Ma robe ouverte…, sur ma poitrine qui sortait presque de mon petit soutien-gorge, mon jeune amant surpris et des plus excité il était en découvrant que sous mon collant des plus fin et doux, sans aucune démarcations, je ne portais strictement rien… !!! D’entrevoir, toucher, sous mon collant, ma vulve nue de pilosité, et toute humide, alors que je gémissais, frissonnais, l’excitait au plus haut point. Là à travers le tissu, sa langue des plus caressantes, me léchait, sa bouche m’aspirait. J’en pouvais plus et tandis qu’il se relevait pour sortir son sexe des plus fin et long à la fois, prise de « panique, d’effroi », je me relevais et insistais pour qu’il me laisse partir…, que c’était mal…, qu’il ne fallait plus recommencer…, et qu’à tout jamais il fallait oublier ce moment d’égarement…!!!
Des plus paniquée, quelques peu dévêtue, sous mon manteau j’étais et rentrais précipitamment à la maison. Je restais dans la cour de la maison, quelques minutes prostrée, honteuse de mon attitude, et ne désirais qu’une chose : que mon mari me réconforte !

Profondément il dormait, et je passais une nuit des plus perturbée de ma vie… Mille et une questions je me posais, et n’arrivais pas à m’endormir. Dans la nuit j’allais à pas de loup dans la salle de bain, et devant nos deux lavabos, je me caressais quelques secondes avant de jouir d’une manière très, très rapide, et enfin, aller me coucher et dormir….
Le matin tandis que je vaquais à mes occupations, que je rangeais la maison, plusieurs messages mon directeur m’envoyait : s’excusant d’abord, puis des plus aimable il était, et des plus coquins à la fois…

Comme dans un jeu entre nous, souriante, amusée, à chaque instant je lui énonçais, ce que je faisais, portais…. ! De plus en plus coquin il était, jusqu’à ce qu’il m’invite à porter sous ma tenue des bas… ! Presque sereinement je lui envoyais le message suivant :

Très souvent sans provoquer ni choquer, j’aime porter des bas Dim-up, et même parfois au travail… ! Des plus directifs, autoritaires, presque il était, en me « désirant » vêtue d’une façon des plus coquine … !

– Je ne sais pas…, on verra …, peut-être…, je lui répondais

Des plus excitée j’étais sous ma douche, et tandis que je m’habillais, j’étais très tentée de porter un collant ouvert façon porte-jarretelles, sous ma jupe noire, et sous ma veste et chemise, en toute discrétion, je ne portais pas de soutien-gorge : je fais un petit 85 B des plus fermes et naturels. Une fois au travail, complètement il m’ignorait jusqu’à la fin du service de midi. Tandis qu’il informait le personnel, qu’il allait à la banque, et voire le comptable, discrètement il me remettait un petit mot pour que j’aille le rejoindre sous le parking couvert, du centre commercial proche…. Chancelante et tourmentée, tel un automate, je prenais mon auto et me dirigeais vers le parking, ou très vite je le retrouvais. Je garais mon auto, et m’installais à la place du passager. Tourné sur le côté, tel des amants fous on s’enlaçait, s’embrassait tandis qu’il voulait entrevoir si j’avais cédée à ces avances… Alors que sa main furtivement remontait sous ma jupe et qu’il devinait ma tenue, je le suppliais de partir et de m’emmener loin d’ici… Rapidement on quittait la ville et dans la campagne, au bout d’un chemin, à l’entrée d’un petit bois, d’une façon des plus déchainée, effrénée, et ardente, dans l’auto, quasiment nue je me retrouvais…, en l’aidant-même, et ardemment on s’aimait…. Alors, que je me retrouvais sur son siège, empalée sur lui et me trémoussant sur son pieu magnifiquement dressé, je le laissais entièrement me dévêtir, dans un langage mélangeant douceur et mots crus,’il me complimentait, glorifiait, me voyant, devinant partir au septième ciel, je ne me retenais pas de lui crier presque :

– Prends-moi…, baise-moi… quand tu veux…, où tu veux…, comme tu veux.., j’en meure d’envies, j’en peu plus… !!!

À son tour il allait jouir, et précipitamment, j’ôtais le préservatif, et dans une position des plus libertines, je le laissais avec délectation, jouir dans ma bouche sous mes caresses et sucions…
Il était déjà presque 17 heures, et nous devions retourner au restaurant, et malgré ma bouderie, car j’étais encore demandeuse, il me ramenait à mon auto, et dans les toilettes du centre commercial, je me faisais une « petite beauté »…