La soirée s’annonçait bonne, Chloé ma colocataire était partie dormir chez son copain et j’attendais Camille ma copine pour un dîner en amoureux. Tout était prêt, la table et la repas. Je m’étais préparé sans trop en faire, histoire d’être classe sans trop en montrer, mais le téléphone a sonné. D’une voix sèche sans aucune explication elle me dit qu’elle ne vient pas et me raccroche pratiquement au nez.
Je suis là, dans ma chemise blanche, à grignoter les petits fours en me demandant si ce n’est pas le début de la fin. On était ensemble depuis 6 mois et tout paraissait rouler des deux côtés pourtant…. Peut-être que certaines choses m’ont échappées, ou me suis je simplement trompé sur elle ?
Je décide de ne pas me miner et m’assied derrière mon bureau pour checker mes mails. Rien que pour me changer les idées je file sur un site hébergeant des photos de femmes nues sur la plage. Toutes sont très belles, certaines carrément canons. Je m’arrête sur plusieurs clichés d’une splendide brune de 25 ans environ, enlevant son bikini rouge le plus naturellement du monde en parlant à une bande d’amis. Son beau visage reflète son caractère, sa bouche fine et son petit nez malin soulignent un regard foncé respirant la fierté, restant debout et exposant son corps parfait à ses amis et à la plage entière,ses seins beaux et ronds aux petits tétons, son fessier ferme soulignant sa silhouette parfaite et son pubis à la pilosité entretenue couronnant un sexe aussi doux qu’accueillant.
Elle se décide à s’asseoir sur sa serviette, s’agenouille le cul en l’air et s’allonge sur le dos les jambes pliées et écartées comme si elle avait oublié sa nudité. Son sexe est magnifique et son trou tout autant. Je m’étonne qu’aucune des personnes avec elle, homme ou femme, ne paraisse excité ou même troublé par le spectacle qu’elle représente.
La dernière photo la montre assise de face, le dos redressé, les bras posés sur ses jambes pliées, montrant tout autant de son intimité. Ses yeux filent filent droit dans l’objectif, sans doute a t-elle repéré le photographe voyeur. Je prends ce regard pour moi, derrière mon ordinateur, ses yeux dans les miens achèvent de m’exciter. Profitant d’être seul dans l’appartement, je baisse mon jean, me met à l’aise et commence à me branler sous ses yeux.
Je nous imagine seuls sur la plage, elle s’exhibant et m’excitant fièrement pendant que je me masturbe devant elle, espérant au moins qu’elle en fasse autant ou mieux qu’elle vienne s’occuper de moi. Mais hélas elle continue à me regarder fixement et malgré tous mes efforts imaginaires je n’aurai d’elle que son image et l’impression d’être remarqué.
Soudain la porte d’entrée claque et Chloé rentre comme une furie dans la pièce. J’ai juste le temps de me redresser sur mon siège, poser mes mains sur le clavier et remercier les hasard de la vie qui m’ont fait acheter un bureau à fond plein cachant le bas du corps. Sans doute celui d’un patron très proche de sa secrétaire ou d’un cadre voulant cacher les tapotements nerveux de ses pieds.
Chloé s’installe sur le fauteuil en face, les jambes allongées sur un bras. Elle me raconte son début de soirée, l’arrivée dans le bureau de son copain et ce dernier partant aussitôt en réunion sur un coup de fil de son patron, la laissant siroter le mini-bar pendant plus d’une heure jusqu’à ce que la secrétaire lui apprenne qu’il est en dîner d’affaire.
Je manque de lui avouer tout le mal que je pense de ce type, aperçu une ou deux fois, mais me décide à ne pas en rajouter. Je lui raconte plutôt l’annulation de ma soirée et ce coup de fil brutal à peine moins impoli.
Elle rit et se console de ne pas être seule dans cette situation et ne pas avoir à tenir les chandelles comme elle le craignait sur le chemin du retour. Elle enchaîne dans un monologue où passent les événements de sa journée et des questions existentielles n’appelant pas de réponse. Je reste assis à l’écouter, bougeant le moins possible pour ne pas lui laisser deviner ma situation embarrassante. Mon sexe étant toujours dehors et en forme … la photo de la jolie naturiste toujours à l’écran.
Chloé est aussi une très jolie brune d’1m70 aux mensurations parfaites, elle porte une robe noire et moulante aussi classe que sexy. Sa position sur le fauteuil, le bras sur une jambe, la tête sur l’autre font remonter le tissu juste en dessous de ses fesses et le décolleté de sa robe légèrement retombé laisse entrevoir un début de téton.
Sa discussion m’avait fait quitté les yeux de mon écran et baissé mon érection, mais sa position lascive refait davantage bouillonner mon bas ventre. Toutes mes sensations se concentrent à cet endroit et dévient ma concentration.
Les hasards de la colocation nous avaient déjà donné l’occasion de nous voir nus, quand ça arrivait on s’excusait et on en reparlait plus. Mais la voir ainsi dans sa robe et cette position lascive me troublaient bien plus que la sortie de douche de l’autre jour où sa serviette avait chuté dans le couloir.
Finalement elle s’assied sur le fauteuil dans un geste qui me laisse voir son string noir et, aussi rapidement qu’elle est arrivée, se lève pour prendre une douche. Elle commence à enlever sa robe dans le couloir et me laisse, l’espace d’un instant, apercevoir ses fesses derrière la mince ficelle de son string.
Entendant l’eau couler, je m’installe et recommence à me masturber. Chloé sous la douche m’excitant plus que la photo sur l’écran, les yeux fermés je vais et viens sur ma verge en l’imaginant nue, ses mains promenant la savonnette sur son corps en s’attardant quelques instants sur les zones érogènes.
Soudain je sens son parfum, j’ouvre les yeux et la voit là, juste à côté de moi derrière mon bureau, elle a laissé l’eau couler pour couvrir les pas de son retour.
Elle est nue et son joli minois paraît ravi de me surprendre ainsi. Ses grands yeux verts me détaillent et sa bouche accueillante sourit fièrement devant l’intensité de mon érection. Son corps parfait est aussi beau que celui de la photo et ses courbes font gonfler mon sexe dans ma main. Avant que je le lâche elle m’arrête et me murmure avec tendresse « J’ai moi aussi très envie de me masturber et entre colocataire ce serait plus simple de ne pas se cacher, non ? »
Sans attendre de réponse elle attrappa ma verge comme elle prendrait ma main et m’emmène sur le fauteuil dos au bureau. Elle retourne s’asseoir sur celui d’en face, les jambes écartées exhibant son sexe déjà bien mouillé. Elle commence par le caresser, le masser de ses doigts laissant tournoyer ses lèvres en s’attardant sur son clitoris. Débarrassé de toute inhibition je recommence à me branler mes yeux dans les siens, échangeant regards et sourires complices.
Sans s’arrêter elle me parle des stratagèmes qu’elle avait utilisé pour ne pas que je la surprenne et finit par m’avouer qu’une nuit en allant aux toilettes, elle avait entendu des bruits suspects, avait silencieusement ouvert la porte et s’était caressée debout en me regardant en faire autant dans la pénombre.
Pendant son récit elle accélère son mouvement et chaque jambe sur un bras du fauteuil, s’enfonce un puis deux doigts pendant que son autre main joue avec le bouton de son clitoris. J’accélère alors mon mouvement et elle me demande de retirer ce qui me reste de vêtement. Très vite le peu qu’il me restait sur le corps se retrouve jeté à ses pieds et nous continuons chacun sans rien nous dire d’autre que des clins d’œil.
Elle se lève, me tourne le dos,une main appuyée sur le dossier, écarte les jambes pour me faire profiter du spectacle de son cul. Sa main glisse le long de sa vulve, laissant deux doigts plonger dans ses parois puis un seul dans son petit trou.
Le plaisir est si intense que je me demande s’il serait meilleur en elle. La chaleur de ses yeux sur mon corps me caresse et m’enveloppe comme si elle était sur moi à me couvrir d’effleurements, de douceur et d’attouchements. Comme si nos langues se mélangeaient et nos odeurs s’échangeaient.
Je reviens à la réalité et l’observe me regarder, elle sourit en ce mordant la lèvre inférieure et plonge de nouveau ses doigts dans son fondement humide entre les deux pétales de ses lèvres. Ses yeux se baissent vers mon entrejambe, je ralentis pour la laisser mieux regarder et accélère doucement, espérant ainsi lui procurer autant de plaisir qu’elle m’en apporte elle-même.
Je sens le désir monter et commence à me demander combien de temps je vais encore pouvoir tenir mais, soudain le téléphone vient me sauver.
C’est Camille, qui m’appelle toute penaude pour s’excuser. Elle m’explique les contrariétés professionnelles apparemment graves qui l’ont faite réagir ainsi. Je la laisse parler et continue à me masturber en regardant Chloé, qui s’est replacé face à moi tout en continuant ses gestes.
Au téléphone elle me promet de se rattraper et de me consacrer la soirée du lendemain et le week-end suivant. Je lui réponds que ce n’est pas si grave car j’en ai profité pour prendre de l’avance dans mon travail. Sur le fauteuil en face Chloé manque de s’éclater de rire et arrive à en étouffer le son dans la manche de ma chemise.
Camille m’embrasse, je l’embrasse de nouveau et avant de raccrocher elle juge bon de rajouter un très aguicheur « je t’embrasse partout ».
À peine le téléphone déconnecté, Chloé se met à murmurer puis à jouir de toutes ses cordes vocales,sa tête balance ses cheveux d’avant en arrière, son physique ondule sur le cuir du club, elle resserre ses jambes le long de son corps, puis se tourne sur le côté en cachant son intimité. Elle me regarde avec un grand sourire illuminé par ses yeux, riant d’une main coupable devant la bouche, craignant tout bas d’avoir alerté les voisins.
Je commence à la rassurer en argumentant que si tel était le cas ils n’oseront probablement pas en parler, mais je suis interrompu par le téléphone. Je regarde le numéro, inconnu au bataillon sans doute son copain. Je lui lance le combiné, elle le rattrape et commence à écouter ses excuses…un gros client qui arrive sans prévenir mais beaucoup d’argent à la clé et une grosse com’ pour lui.
Chloé lève les yeux au ciel et me fait signe de m’approcher. Sans quitter le combiné, elle écarte les jambes et me ré expose son entrejambe pendant que je me masturbe à quelque centimètres. Sans me quitter du regard, elle l’écoute parler d’une oreille distraite, lâchant à intervalle régulier quelque « oui », « c’est clair » ou autre « t’as raison ».
Me sentant venir je recule, mais elle me retient et me montre ses seins. Je la regarde étonné, elle insiste. Je me rapproche alors et me place entre ses jambes, pour quelque secondes après, relâcher mon plaisir en éclaboussant ses deux mamelons. Sans interrompre la conversation elle regarde le liquide sur sa poitrine et finit par conclure, en attrapant du bout du doigt la dernière goutte qui coulait de mon gland toujours dehors, elle embrasse son copain et lui assure ne pas lui en vouloir.
Après qu’elle ait raccroché, nous rions ensemble et elle m’avoue songer à se débarrasser de ce type. Je ne réponds rien mais n’en pense pas moins.
Elle se lève me prend par la main et m’invite à la suivre sous la douche, l’eau coule sur sa peau brillante et son regard est souligné par ses cheveux mouillés.
Elle se retourne et me confie être aussi ravie de cette nouvelle intimité entre nous que soulagée de ne plus avoir besoin d’attendre à la porte de la salle de bain quand j’y serai, ou de se planquer quand elle voudra se caresser.
Nous convenons de continuer ainsi la colocation dans la transparence totale, tout en gardant respectivement nos vies privées.
Nous sortons, elle prend sa serviette, s’essuie lentement puis s’enroule dedans pendant que je m’essuie avec la mienne.
Sans s’habiller davantage elle me propose d’aller regarder un film dans le salon. Je la suis de près, le regard posé sur ses fesses dépassant et rebondissant à chacun de ses pas. Soudain elle tourne sa tête vers moi et avec un grand sourire laisse tomber négligemment la sortie de bain sur le parquet.