Les vacances étaient finies, mais même si le chemin du travail avait repris, le soir en rentrant du travail on profitait encore des biens faits du soleil, surtout pour l’instant car il faisait chaud. On était revenu tout brun des vacances. Hélas, comment souvent, la peau avait tendance à quelque peu peler et aujourd’hui plus que d’habitude car on avait profité de la piscine chez des amis. Au soir comme notre peau et surtout celle de ma femme craquelait assez fort, je lui proposai de lui mettre de la crème pour hydrater sa peau.

J’avais bien sûr tout à fait autre chose en tête que le simple fait de lui mettre de la crème. J’avais en effet envie de bien profiter de son corps. Elle accepta mon offre et s’étendit sur le lit après avoir ôté le haut de son pyjama. Elle me demanda si je voulais qu’elle se mette sur le dos ou sur le ventre. Sur le ventre pour commencer, mais après avoir retiré le bas du pyjama. Elle se retourna et je l’aidai à se débarrasser de sa culotte de pyjama. Elle était maintenant nue, couchée sur le ventre et attendait la crème. Je m’étais aussi complètement déshabillé et mis à califourchon sur elle, mon sexe à la hauteur de ses fesses.

Je lui mis la crème sur les épaules et dans le dos et je commençai à la masser pour faire bien pénétrer la crème. Tout en la massant, je venais de temps en temps l’embrasser dans le cou, sur la joue ou j’allais à la recherche de ses lèvres pour l’embrasser. Je sentais qu’elle appréciait cela et mon sexe se mit à grossir. La crème ayant pratiquement été assimilé par son corps, je me mis à lui caresser les fesses, ne manquant pas de glisser mes doigts dans la raie de ses fesses, car je sais aussi que cela lui procure beaucoup de sensation. Voyant qu’elle se laissait bien faire, je m’en hardi et fini par tantôt présenté un doigt devant son petit œillet ou mon gland, en pressant légèrement ceux-ci contre son petit trou pour bien lui faire sentir mon envie. Elle me sourit, comme pour m’encourager à continuer. J’introduisis alors d’abord un doigt, qui glissa à l’intérieur de ses entrailles sans le moindre problème. Elle se retourna, me sourit et fini par me tendre ses lèvres. Je me penchai alors, toujours avec mon doigt qui fouillait son petit trou et je me mis à l’embrasser.

Je fini par me redresser et retirai mon doigt. A l’aide de mes deux mains, j’écartai ses fesses et présenta mon gland contre son œillet. J’exerçai une pression vers l’avant et celui-ci disparu, comme avaler par son petit trou. Je continuai alors à faire entrer mon membre dans son petit trou et quand je fus complètement en elle, je me penchai à nouveau sur elle pour l’embrasser. J’en profitai pour glisser une main sous son corps et attraper son sein gauche que je me mis à malaxer, tout en commençant à faire des va-et-vient en elle. Elle était aux anges, je sentais son cul m’accompagner dans les mouvements que je lui donnais, augmentant ainsi son plaisir, et le mien. l’excitation était trop forte et rapidement un premier jet de foutre envahit son petit trou. C’est le moment que je choisi pour sortir mon sexe de son cul et finir à décharger toute mon excitation dans sa raie. Il y avait une petite mare de sperme qui coulait de ses fesses vers le bas de son dos.

Qui a dit que les femmes n’aimaient pas être sodomisées ?