Amélia entra dans le bureau de son supérieur. Elle déambulait élégamment du haut de ses talons aiguilles, sa jupe de tailleur remontait discrètement à chacun de ses pas. Amélia adorait bien paraître, elle était généralement sexy et détonnait avec les gens du bureau. Son tailleur noir s‚agençait bien avec la classe qu’exigeait son poste, mais son chemisier rose fuchsia témoignait bien de son originalité et de son refus de cadrer dans les règles.
En entrant dans le bureau d’Alexandre, ses talons aiguilles claquaient sévèrement sur la céramique. Elle regardait d’un air dédaigneux la pièce ostentatoire ment décorée avec les fauteuils en cuir et le bureau massif foncé derrière lequel trônait son supérieur hiérarchique. Amélia lui trouvait quelque charme certes, mais son comportement hautain et arrogant le lui rendait insupportable.
˜ Voici le rapport et les règlements pour l’exportation au Royaume-Uni que vous m’avez demandés.
— J’espère que ce rapport ne contiendra pas les mêmes fautes que le dernier.
˜ Monsieur, sauf le respect que je vous dois, je suis la meilleure du service.
— Nous verrons. Ce sera tout.
Amélia sortit du bureau en claquant rageusement ses talons. Elle claqua la porte et alla s’enfermer dans son bureau. Amélia ne vivait que pour son travail, pas de petit ami, une grande maison avec femme de ménage. Elle détestait que ses exploits professionnels ne soient pas louangés ou à tout le moins appréciés. Elle retira son veston cintré et le lança sur la chaise en face d’elle, elle se massa les tempes et ouvrit son portable pour prendre ses e mails.
L’après-midi passa à une vitesse fulgurante. Vers19 heures on frappa à la porte. D’un ton exaspéré elle enjoignit l’importun à pénétrer dans son antre.
˜ Vous devriez mettre un peu d’ordre dans ce fouillis.
˜ L’état de mon bureau me regarde, quand je reçois des clients je le range, personne ne s’est jamais plaint.
˜ Votre arrogance mademoiselle me donne envie de vous rosser le derrière jusqu’à‚à ce que vous en pleuriez pour faire couler ce maquillage si parfait.
Amélia se leva, hautaine et dédaigneuse, en lui disant :
˜ Vous me touchez, je vous étrangle, maintenant, si vous avez terminé, vous pouvez quitter j’ai du travail.
˜ Non, je ne crois pas que ça se passera ainsi.
Alexandre se leva, enleva veston et cravate et ouvrit sa chemise de deux boutons. Contourna le bureau et prit fermement le poignet d’Amélia. Dès que la poigne de fer d’Alexandre se referma sur son poignet, Amélia le gifla. Du haut de sa stature imposante, Alexandre détourna la tête sous le choc, mais maintint la pression sur le poignet de la jeune femme. Il la lâcha pour se diriger vers sa nuque et la força à se courber au dessus du bureau. En lui murmurant à l’oreille :
˜ Les femmes fortes et farouches dans ton genre ça me connaît, en réalité tu es probablement chaude et tu n’attends que d’être dressée par un homme, un vrai.
˜ Allez-vous faire foutre.
˜ Euh… non!!!c’est à toi que ça va arriver ma belle.
De son autre main il remonta lentement de l’arrière de son genou gainé de bas de soie noire jusqu’à  mi cuisse où il découvrit, surprise ! La petite cochonne ne portait pas de collants, mais bien des bas jarretelles, ancêtre malheureusement si écarté par les femmes. Il fit claquer l’élastique du porte-jarretelles qui maintenait le bas. Amélia émit un petit cri sous la surprise du pincement. La main baladeuse poursuivit sa montée lentement tout en remontant la jupe étroite afin d’apprécier visuellement le contenu.
˜ Je vais vous faire démettre de vos fonctions, vous poursuivre en justice et vous ah !
˜ Ça surprend ?
Alexandre avait glissé un doigt dans sa culotte et s’était immiscé dans son antre humide. Humide n’était pas exactement le mot adéquat étant donné que l’entrejambe d’Amélia était moite à la limite d’être trempé. La belle aimait donc être malmenée, c’est bien ce qu’Alexandre avait cru déceler. Il resserra un peu sa poigne, Amélia sentait son membre frotter sur sa fesse gauche. Elle avait bien quelques aventures, elle était une femme libérée, mais les trop peu nombreux orgasmes ne comblaient pas son besoin de sexe. Maintenant, elle était penchée au-dessus de son bureau, la main du président sur sa nuque avec deux, non trois doigts en elle et un pouce qui masse son anus. Comment ne pas réagir ? Son cœur s’accélérait, elle commençait à avoir chaud et elle émit un soupir qui n‚échappa pas à son assaillant.
˜ Il fait chaud vous ne trouvez pas ? Laissez-moi vous aider Amelia.
Sa main relâcha sa nuque pour aller déboutonner sa blouse. Il en profita pour glisser sa main dans le soutien-gorge en dentelle, il pinça le mamelon qui était déjà érigé. Il caressa le clitoris de sa soumise et il sentit les muscles vaginaux se contracter.
˜ Est-ce qu’on faiblirait ? Maintenant salope tu va te mettre à genoux et tu vas me sucer, si tu fais bien ça je t’autoriserai à me supplier pour que je te baise. Mais avant.
Avant de la relâcher pour qu’il puisse explorer sa cavité buccale, il lui enfonça un petit appareil télécommandé dans son intimité. Une partie stimulait le point G et l’autre le clitoris. Il avait appris qu’une femme stimulée est toujours plus stimulante. Elle s’agenouilla devant lui, il avait une belle vue sur sa poitrine plantureuse. Elle défit sa fermeture éclair et enfourna son membre dans sa bouche. Elle faisait jouer sa langue en gémissant. Alexandre adorait entendre les femmes gémir quand elles le suçaient, il avait d’avantage l’impression de les soumettre. Elle avait les deux mains sur son membre et l’avalait goulument. La salive faisait reluire le pieu d’Alexandre, ce dernier était plutôt bien équipé, il posa une main sur sa tête pour lui imprimer le mouvement. Cette femme était une pute qui s’ignorait, personne ne pouvait sucer comme ça ! Il ferma les yeux dix secondes pour apprécier quand il les rouvrit, elle le regardait avec une étincelle de victoire dans les yeux. Ça non ! Il ne pourrait pas l’accepter, il lui tira les cheveux et la força à s’asseoir sur le bureau, il retira le jouet qui sortit en émettant un bruit de succion. Il sortit ses seins de son soutien-gorge et mordit son mamelon ce qui la fit crier. Il remonta sa jupe sur ses hanches et s’enfonça brusquement en elle. Elle en perdit le souffle et se laissa choir vers l’arrière. Alexandre en profita pour placer ses mains à l’arrière de ses genoux pour pouvoir l’écarteler au maximum. Il ressortit lentement alors qu’Amélie ondulait du bassin pour le retenir en gémissant et en suppliant. Il frotta son membre turgescent sur la fente trempée d’Amélia en insistant sur le clitoris et l’entrée du vagin. Dès qu’il s’approchait de l’entrée, elle gémissait, se lamentait ce qui n’avait pour effet que de l’amuser. Elle en voulait plus, elle en redemandait. Il s’enfonça lentement en elle, centimètre par centimètre.
˜ Oui ! Encore, encore, plus fort !
Il se pencha au dessus d’elle et lui murmura pendant que son pénis faisait son chemin :
˜ C’est moi qui décide quand tu jouis tu as compris garce ?
Il donna un coup de rein et ressortit aussitôt pendant qu’elle reprenait son souffle. Il se détourna partiellement puis la détailla. Mais quelle chienne ! Elle était là, la chemise ouverte, les seins sortis de leur dentelle luxueuse, la jupe relevée avec des jambes de rêve gainées de soie anthracite avec à ses petits pieds des escarpins aux talons vertigineux. Elle était actuellement tellement désirable ! À la fois vulnérable et offerte, n’y pouvant plus il s’approcha et s’enfonça dans sa chair chaude et voluptueuse. Il entama un va et vient vigoureux, Amélia s’accrocha à lui comme à une bouée de sauvetage, elle lui enfonça ses ongles dans les épaules pendant qu’il la labourait. Puis, ça vint, comme une vague déferlante, ses yeux s’agrandirent, sa bouche s’entrouvrit laissant s’échapper une longue plainte animale. Ses doigts se resserrèrent sur les hanches de son bourreau et elle imprima un rapide mouvement du bassin. Cette réaction à laquelle il ne s’attendait pas le fit exploser de plaisir, lorsqu’il eut terminé il se retira. Amélia resta allongée sur le bureau gémissant et profitant des derniers moments de l’orgasme fulgurant qu’elle venait d’avoir. Alexandre s’assit dans la chaise de son employée, il voyait son sperme s’écouler le long de sa cuisse, la sueur ruisseler sur ses seins et sa respiration saccadée signes de sa soumission totale.
Lorsqu’elle eut repris ses esprits, Amélia s’empressa de se défaire du tailleur souillé et entreprit d’essuyer ce qui coulait avec un mouchoir. Sous le regard attentif d’Alexandre, elle sortit de la penderie qui se trouvait dans son bureau, un tailleur dans une housse, avec les bas Nylon, les sous-vêtements et la chemise assortie. Puis, elle sortit d‚un tiroir de son bureau des lingettes démaquillantes, retira le maquillage défait et se remit du rouge à lèvre.
˜ Je veux vous prendre tous les soirs à 19heures.

Le lendemain Alexandre regardait dans son bureau la vidéo prise par la caméra de surveillance. Quelle bonne idée il avait eu de faire installer ce système. Discret et relié à aucune centrale ou dispositif de télévision surveillé en permanence, ces micro-caméras offraient des images de très bonne qualité avec plusieurs options d’angle et de zoom. Le plus beau dans tout ça, c(est que les films arrivaient directement sur son propre ordinateur.
˜ Sophie ! Interjeta Alexandre dans l’intercom, Appelez-moi Amélia, faites la venir à mon bureau !
Amélia dans son bureau repensait aux évènements de la veille, elle sentait son sexe s’humidifier à mesure que les images défilaient dans sa tête, elle faisait partie de ces femmes qui plus elles en ont, plus elles en veulent.
˜ Ressaisis-toi, de toute façon, tu vas encore baiser ce soir.
˜ Amélia ? Résonna la voix dans l’intercom, Alexandre voudrait vous voir.
« Mais qu’est-ce qu’il veut encore ! »
Elle se leva calmement, se posta devant le miroir sur pied qu’elle avait installé dans son bureau. Elle vérifia ses cheveux, son maquillage, retoucha son rouge à lèvre. Elle enfila son veston anthracite sur son chemisier violet et sortit de sa penderie des escarpins à talons haut violet. Elle cambra le dos, releva la tête et sortit de son bureau.
˜ Bonjour Amélia, asseyez-vous je vous prie.
Amélia prit place dans un des fauteuils en cuir en face du bureau d’Alexandre et croisa les chevilles sous l’assise du fauteuil.
˜ Savez-vous dans quoi j’ investi régulièrement ?
˜ Dans un système de micro caméra.
˜ Comment le savez-vous ?
˜ Parce que j’ai vu celles dans l’ascenseur, dans le corridor et dans mon bureau, et qu’accessoirement, un soir le mois passé alors que je travaillais tard, j’ai vu le véhicule de la compagnie qui vous les a installées.
˜ Donc vous ne serez pas surprise de voir ceci.
En disant cela, il tourna son écran vers elle pour lui montrer sa performance d‚hier. En se voyant ainsi, chienne et offerte, elle se mit à mouiller terriblement, elle avait soudain très chaud et très envie de sexe. Alexandre remarqua ses yeux brillants :
˜ Tu as envie de ma queue n’est-ce pas ? Alors trouve une manière de m’exciter question de me rendre ma virilité.
En réalité son membre était fortement érigé puisque depuis une heure il regardait des séquences en boucle, mais il avait envie de la rendre chienne. Pour couvrir les bruits de leur baise éventuelle, même si l’étage était quasi constamment désert, Alexandre mis en marche le système stéréo de son bureau.
Amélia se leva et commença à onduler langoureusement au son de la musique, elle retira rapidement son veston, puis tout en dansant, elle déboutonna son chemisier. Elle s’approcha de lui en ouvrant les pans de son haut pour lui faire apprécier ses deux globes charnus fermement maintenus dans un écrin de dentelle précieuse. Elle retira son chemisier et l’envoya valser plus loin. Elle défit la fermeture éclair de sa jupe et tourna le dos à Alexandre elle retira sa jupe en se pencha pour qu’il puisse avoir une vue imprenable sur son galbe fessier. Elle resta dans cette position et joua avec la ficelle du string qui passait entre ses fesses. Elle offrait sa chatte trempée en offrande à son patron. Elle se releva et s’assit à califourchon sur ses genoux. Elle se pencha vers son oreille et lui murmura :
˜ Je sens une tension, vous avez l’air dur Monsieur… J’ai très envie de votre queue… Vous voulez bien l’enfoncer dans ma petite chatte ? Je suis toute trempée, uniquement pour vous…
En lui murmurant ces mots d’une voix mielleuse, elle ondulait du bassin sur le bâton de son patron et défaisait les boutons de la chemise de son supérieur. Elle passa ses mains dans la chemise et caressa les épaules et les avant-bras musclés d’Alexandre. Elle se pencha et mordit la peau sur la clavicule. Elle lui soufflait dans l’oreille, frottait ses seins, galbés par le soutien-gorge, sur son torse. Alexandre sortit les seins de leur soutien-gorge et approcha ses lèvres, il pinça les mamelons entre ses lèvres faisant du coup gémir la belle. Il prit plaisir à tirer sur les mamelons avec ses lèvres pour les agrandir un peu, Amélia se lamentait de douleur et de plaisir. Lorsqu’ils eurent atteint une longueur intéressante, Alexandre fit jouer sa langue autour. Amélia ondulait de plus en plus et il sentait la moiteur de sa chatte au travers son pantalon.
˜ À quatre pattes !
Excitée, Amélia crû qu’il s’apprêtait à la prendre en levrette, elle retira son string et se plaça à 4 pattes au milieu de la pièce, le dos bien cambré, les fesses bien tendues. Alexandre prit une règle en bois sur son bureau et s’approcha silencieusement de la belle. Il lui caressa tendrement les fesses, descendit vers les lèvres, elle était plus que moite la cochonne ! Il agaça l’ouverture du vagin avec un doigt. Amélia se trémoussait, désirant se faire prendre. Puis le coup retentit, Amélia ne pu retenir un cri de surprise et de douleur.
˜ Tu crois pouvoir t’envoyer en l’air avec qui tu veux ? Tu crois que je n’ai pas remarqué ton petit manège dans l’ascenseur avec l’homme de l’entretien paysager ? J’ai tout vu sur la caméra ! Ce faisant il continuait de taper les fesses rebondies d’Amélia, celles-ci étaient maintenant toutes rouges et Amélia se retenait pour ne pas pleurer. Elle n’allait quand même pas demander pardon. Après une dizaine de coups, Alexandre déposa la règle et commença à lécher les fesses cramoisies de son employée. Les stries ne faisaient que brûler davantage sous les coups de langues ardents du directeur.
Pour plus de confort, Alexandre fit allonger Amélia sur le canapé qui trônait près d’un mur dans son bureau. Il y posa un genou et déposa la jambe gauche de sa petite cochonne sur son épaule. Il s’enfonça lentement en elle, tout en maintenant la jambe droite, ouverte pour un maximum de profondeur. Il s’enfonçait langoureusement en elle en la regardant dans les yeux, jusqu’à ce qu’elle les ferme, à ce moment, il su qu’il avait gagné. Elle exhala un long soupir et commença à onduler les hanches pour plus de vigueur. Alexandre voulait l’épuiser, il se pencha vers elle et celle-ci ne pouvait plus bouger. Il entama un lent mouvement de va et vient. Amélia gémissait et râlait, cherchant l’orgasme mais n‚y parvenant pas. Elle tremblait et suppliait Alexandre de lui offrir un orgasme, mais il n’en avait cure. Alexandre la sentait tendue comme un arc, sa chatte se contractant autour de son pénis comme un étau. Pour en profiter davantage, il s’enfonça au plus profond et regarda les yeux de la femelle sans bouger. La profondeur eut raison d’elle, ses yeux s’agrandirent, elle fixa un point derrière l’épaule d’Alexandre et sembla, pendant un moment, cesser de respirer. Puis, elle exhala tout l’air contenu dans ses poumons en un long ouiii..!!!. Elle s’affala, sans force sur le canapé, mais Alexandre n’avait pas décidé que ça se terminerait ainsi. Il commença à la besogner sans ménagement. Un long mouvement de va et vient, vigoureux et ample secouait la brunette.
˜ Ah oui, encore monsieur, oui plus fort… s’il vous plaît…
Alexandre adorait se faire supplier dans toutes ses sphères d’activités. Amélia, sous la violence des assauts se cramponna à lui, enfonçant ses ongles manucurés dans ses épaules et enroulant sa jambe libre autour de sa taille. Au moment où Amélia commença à crier son bonheur, ses muscles se contractèrent fortement, offrant à Alexandre une jouissance mémorable. Alexandre sortit son membre du fourreau et l’essuya sur la soie luxueuse qui gainait les jambes d’Amélia. D’un doigt il caressa le côté d’un sein, elle le regarda en souriant, puis ferma les yeux. Elle s’endormit en souriant, sur le canapé dans le bureau de son supérieur, comblée, et le sexe dégoulinant de sperme.